Photographier des animaux sauvages, cela demande de la patience (et donc d’avoir du temps devant soi), une bonne dose de sang-froid et aussi le coup d’oeil pour photographier le moment qui fera la différence. Mais parfois, entre le désillusions, les heures d’attente pour rien ou la déception de se rendre compte que l’on est pas placé au bon endroit qui permettrait la prise de vue idéale, il y a aussi ces moments où la nature sauvage se fait plus docile et se rapproche du photographe, ce dernier devant souvent un simple objet de curiosité qui pour un écureuil, qui pour un lémurien voire même un ours soudain pacifique (mais gare…). Les photos ci-dessous montrent qu’il y a en tout cas de jolis récompenses après l’attente :